Vue aérienne du village
L'église, le grenier
Vue aérienne du village
Vue aérienne du village
Vue aérienne du village
Entrée Sud
La mairie

broyeur de végétauxL'automne arrive ! Dans le cadre de sa politique de réduction des déchets, la communauté de communes des Portes d’Ariège Pyrénées a souhaité encourager le broyage de végétaux, comme l’un des moyens de réduction des déchets verts à la source, de valorisation de la matière organique et d’alternative au brûlage de déchets verts qui est interdit. Pour cela, la communauté de communes des Portes d’Ariège Pyrénées a instauré un dispositif d’aide à l’achat de broyeurs.

La subvention sera attribuée après examen du dossier, dans la limite des crédits disponibles. Elle est progressive et sera fixée à :
20 % du prix d’achat TTC d’un broyeur, avec un plafond de subvention de 200 € par broyeur neuf acheté, pour un foyer isolé
25 % du prix d’achat TTC d’un broyeur, avec un plafond de subvention de 300 € par broyeur neuf acheté par un groupement de deux foyers,
30 % du prix d’achat TTC d’un broyeur, avec un plafond de subvention de 400 € par broyeur neuf acheté par un groupement de trois foyers
40 % du prix d’achat TTC d’un broyeur, avec un plafond de subvention de 600 € par broyeur neuf acheté par un groupement de quatre foyers et plus.L’offre est réservée aux particuliers résidant sur le territoire de la communauté de communes des Portes d’Ariège Pyrénées. Les professionnels, les associations et les collectivités sont exclus du dispositif, de même que les particuliers résidant à l’extérieur du territoire. Un dossier contenant le règlement d’attribution de cette subvention et le document à remplir est disponible en téléchargement ci-dessous :

 

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Un village où il fait bon vivre

Lissac est un petit village de basse Ariège, à la limite du département de la Haute-Garonne, actuellement habité par un peu moins de 250 habitants.

Lissac a connu ces dernières années d’importants changements.
En 10 ans, sa population s’est profondément renouvelée et a augmenté de + 20%. Les dernières statistiques publiées par l’INSEE sur notre commune, issues du recensement de 2016, font état d’une population plutôt jeune : 34% ont moins de 30 ans, 41% ont entre 30 et 59 ans, les plus de 60 ans représentant 24% des Lissacois.

C'est un village où il fait bon vivre, la plupart des habitants se connaissent, mais les nouveaux habitants sont accueillis bien volontiers. Il y a peu d'activité économique, hormis dans le secteur agricole. Les personnes actives travaillent essentiellement dans les communes voisines, dans le département ou sur l'agglomération toulousaine.

la commune dispose d'une école primaire intégrée dans un groupement (SIVE) avec les communes de Canté, Labatut et Saint-Quirc

Un café associatif permet de se retrouver autour d'un verre.

Un peu d'histoire

Aucune indication ne permet de connaître le début de l’occupation du site de Lissac et la création du village. Il est pratiquement impossible d’avoir quelque information relative à ce lieu avant le XI° siècle.

Seule la toponymie permet de penser que des habitants se sont probablement fixés très tôt à cet endroit : par sa terminaison en –ac, le nom de lieu « Lissac » serait en effet d’origine celtique (1). Ces habitants faisaient partie de la tribu des Volques Tectosages, tribu installée sur un grand territoire autour de Toulouse au III° siècle avant notre ère ; ils ont sûrement occupé une hauteur en bordure de la plaine de l’Ariège et des premières collines du Terrefort. Sur cette hauteur s’élèvera, plusieurs siècles après, un château fort au pied duquel s’est construit le village que nous connaissons aujourd’hui.

On peut penser que dès cette époque la plaine de l’Ariège et les collines environnantes étaient cultivées et que des chemins reliaient les lieux de fixation de la population. On relève entre Toulouse et Pamiers de nombreuses localités ayant leur terminaison en –ac, notamment en bordure de la plaine de  l’Ariège : Grépiac, Mauressac, Grazac, Caujac, Lissac, Bonnac, Bézac, ceci montrant peut-être la trace d’une des premières voies de communication entre ces deux villes, voie passant par Saverdun, également d’origine celtique. Des fouilles effectuées dans les environs indiquent d’ailleurs que des relations commerciales ont existé en basse Ariège à l’époque gallo-romaine.

Lire la suite : http://lissac.09.free.fr/Lissac.09/Notes%20Historiques.html (blog historique développé et enrichit pendant de nombreuses année par Alain Pessant)

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