Vue aérienne du village
L'église, le grenier
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Entrée Sud
La mairie

AfficheRORsymptômesLes professionnels de santé de la CPTS Ariège-Pyrénées souhaitent attirer votre attention sur l’importance cruciale de la vaccination contre la Rougeole, les Oreillons et la Rubéole (ROR), ainsi que sur les obligations légales en vigueur depuis 2018.

Rappel du cadre légal

La loi du 30 décembre 2017, entrée en vigueur le 1er janvier 2018, a élargi les obligations vaccinales pour les enfants.
Ainsi, pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018, la vaccination ROR fait partie des 11 vaccins obligatoires conditionnant l’entrée ou le maintien dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants. La preuve de leur réalisation est exigée pour l’admission en collectivités depuis le 1er juin 2018.
Pour les enfants nés avant le 1er janvier 2018, seule la vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DT-polio) reste exigée pour leur entrée en collectivité.
Il est important de noter que, bien que la sanction pénale spécifique au refus de vaccination ait été supprimée, le fait de compromettre la santé de son enfant – ou de contaminer d’autres enfants par des maladies évitables par la vaccination – peut toujours faire l’objet de poursuites pénales.

Pourquoi sensibiliser à la vaccination ROR ?

La rougeole, en particulier, connaît une recrudescence en France (90 cas ont été confirmés en Occitanie dont un en Ariège entre janvier et juin 2025, selon Santé Publique France, et 735 cas au niveau national), avec des conséquences parfois graves, notamment chez les nourrissons et les personnes non vaccinées. La vaccination reste le moyen le plus efficace pour protéger la population et éviter la propagation de ces maladies.

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Un village où il fait bon vivre

Lissac est un petit village de basse Ariège, à la limite du département de la Haute-Garonne, actuellement habité par un peu moins de 250 habitants.

Lissac a connu ces dernières années d’importants changements.
En 10 ans, sa population s’est profondément renouvelée et a augmenté de + 20%. Les dernières statistiques publiées par l’INSEE sur notre commune, issues du recensement de 2016, font état d’une population plutôt jeune : 34% ont moins de 30 ans, 41% ont entre 30 et 59 ans, les plus de 60 ans représentant 24% des Lissacois.

C'est un village où il fait bon vivre, la plupart des habitants se connaissent, mais les nouveaux habitants sont accueillis bien volontiers. Il y a peu d'activité économique, hormis dans le secteur agricole. Les personnes actives travaillent essentiellement dans les communes voisines, dans le département ou sur l'agglomération toulousaine.

la commune dispose d'une école primaire intégrée dans un groupement (SIVE) avec les communes de Canté, Labatut et Saint-Quirc

Un café associatif permet de se retrouver autour d'un verre.

Un peu d'histoire

Aucune indication ne permet de connaître le début de l’occupation du site de Lissac et la création du village. Il est pratiquement impossible d’avoir quelque information relative à ce lieu avant le XI° siècle.

Seule la toponymie permet de penser que des habitants se sont probablement fixés très tôt à cet endroit : par sa terminaison en –ac, le nom de lieu « Lissac » serait en effet d’origine celtique (1). Ces habitants faisaient partie de la tribu des Volques Tectosages, tribu installée sur un grand territoire autour de Toulouse au III° siècle avant notre ère ; ils ont sûrement occupé une hauteur en bordure de la plaine de l’Ariège et des premières collines du Terrefort. Sur cette hauteur s’élèvera, plusieurs siècles après, un château fort au pied duquel s’est construit le village que nous connaissons aujourd’hui.

On peut penser que dès cette époque la plaine de l’Ariège et les collines environnantes étaient cultivées et que des chemins reliaient les lieux de fixation de la population. On relève entre Toulouse et Pamiers de nombreuses localités ayant leur terminaison en –ac, notamment en bordure de la plaine de  l’Ariège : Grépiac, Mauressac, Grazac, Caujac, Lissac, Bonnac, Bézac, ceci montrant peut-être la trace d’une des premières voies de communication entre ces deux villes, voie passant par Saverdun, également d’origine celtique. Des fouilles effectuées dans les environs indiquent d’ailleurs que des relations commerciales ont existé en basse Ariège à l’époque gallo-romaine.

Lire la suite : http://lissac.09.free.fr/Lissac.09/Notes%20Historiques.html (blog historique développé et enrichit pendant de nombreuses année par Alain Pessant)

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