Vue aérienne du village
L'église, le grenier
Vue aérienne du village
Vue aérienne du village
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Entrée Sud
La mairie

FeuLe débroussaillement est un dispositif fondamental en matière de prévention des incendies de forêt et une obligation pour les propriétaires.

Aussi, dans les territoires et secteurs sensibles particulièrement exposés au risque « feux de forêts », notamment en Ariège, le code forestier impose pour tout propriétaire de constructions, d’installations situées à l’intérieur de massifs forestiers et jusqu’à 200 mètres de ceux-ci, de procéder à un débroussaillement réglementaire (selon l’arrêté préfectoral du 28 mars 2018 portant réglementation des mesures relatives au débroussaillement). Ce dispositif, outil majeur de la stratégie de prévention des incendies, permet de diminuer l’intensité des feux, d’en limiter la propagation et permettre aux pompiers d’intervenir rapidement en cas de sinistre.

Les distances de débroussaillement précisés dans l’arrêté préfectoral du 28 mars 2018 portant réglementation des mesures relatives au débroussaillement dans les zones situées à moins de 200 mètres de bois et forêts prévoit notamment une obligation de débroussaillement, aux abords de des constructions sur une profondeur de 50 mètres, ainsi que des voies privées y donnant accès sur une profondeur de 2,5 mètres de part et d’autre de celles-ci. Ces obligations concernent toute végétation (fougères, ronces ...) à l’exclusion toutefois des arbres et arbustes, dès que le sol en est recouvert, et dès lors que la continuité du couvert végétal génère un risque d’incendie.

Source : préfecture de l'Ariège https://www.ariege.gouv.fr/Actions-de-l-Etat/Environnement-biodiversite/Foret/Obligations-legales-de-debrousaillement2

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Un village où il fait bon vivre

Lissac est un petit village de basse Ariège, à la limite du département de la Haute-Garonne, actuellement habité par un peu moins de 250 habitants.

Lissac a connu ces dernières années d’importants changements.
En 10 ans, sa population s’est profondément renouvelée et a augmenté de + 20%. Les dernières statistiques publiées par l’INSEE sur notre commune, issues du recensement de 2016, font état d’une population plutôt jeune : 34% ont moins de 30 ans, 41% ont entre 30 et 59 ans, les plus de 60 ans représentant 24% des Lissacois.

C'est un village où il fait bon vivre, la plupart des habitants se connaissent, mais les nouveaux habitants sont accueillis bien volontiers. Il y a peu d'activité économique, hormis dans le secteur agricole. Les personnes actives travaillent essentiellement dans les communes voisines, dans le département ou sur l'agglomération toulousaine.

la commune dispose d'une école primaire intégrée dans un groupement (SIVE) avec les communes de Canté, Labatut et Saint-Quirc

Un café associatif permet de se retrouver autour d'un verre.

Un peu d'histoire

Aucune indication ne permet de connaître le début de l’occupation du site de Lissac et la création du village. Il est pratiquement impossible d’avoir quelque information relative à ce lieu avant le XI° siècle.

Seule la toponymie permet de penser que des habitants se sont probablement fixés très tôt à cet endroit : par sa terminaison en –ac, le nom de lieu « Lissac » serait en effet d’origine celtique (1). Ces habitants faisaient partie de la tribu des Volques Tectosages, tribu installée sur un grand territoire autour de Toulouse au III° siècle avant notre ère ; ils ont sûrement occupé une hauteur en bordure de la plaine de l’Ariège et des premières collines du Terrefort. Sur cette hauteur s’élèvera, plusieurs siècles après, un château fort au pied duquel s’est construit le village que nous connaissons aujourd’hui.

On peut penser que dès cette époque la plaine de l’Ariège et les collines environnantes étaient cultivées et que des chemins reliaient les lieux de fixation de la population. On relève entre Toulouse et Pamiers de nombreuses localités ayant leur terminaison en –ac, notamment en bordure de la plaine de  l’Ariège : Grépiac, Mauressac, Grazac, Caujac, Lissac, Bonnac, Bézac, ceci montrant peut-être la trace d’une des premières voies de communication entre ces deux villes, voie passant par Saverdun, également d’origine celtique. Des fouilles effectuées dans les environs indiquent d’ailleurs que des relations commerciales ont existé en basse Ariège à l’époque gallo-romaine.

Lire la suite (blog historique développé et enrichit pendant de nombreuses année par Alain Pessant)

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